Catégories : Aux pieds des femmes FANTASME Chasteté ceinture chasteté hom fem TV trans travesti sissy Idées de jeux et de domination
il y a 3 ans
Un samedi après-midi.
Une réservation d’un apart hôtel sur booking.
A peine entré, elle le fit se déshabiller et rangea ses vêtements dans un sac. En échange, elle lui remit une tenue complète de femme, allant des sous-vêtements à la robe, perruque et haut talons.
- Voilà, tu vas d’abord te maquiller avec les produits que je t’ai préparé, en ce compris le vernis pour les ongles de doigts et de pied. Inutile de chercher, tu ne trouveras pas de démaquillant ni de produit pour diluer le vernis. Tu as compris qu’une fois maquillée et habillée en femme, tu resteras ainsi quoiqu’il arrive. Ah, autre chose. Tu recevras mes instructions au moyen de ce téléphone basique que je t’ai amené. Je te conseille de suivre très précisément les instructions que je t’enverrai.
Après s’être maquillée et avoir mis la perruque que lui avait fourni sa maîtresse, Simone entreprit de mettre les sous-vêtements et vêtements féminins ainsi que la paire de haut talons. Elle stressait de devoir sortir ainsi habillée, d’autant que tous ses vêtements d’homme lui avaient été confisqués par sa maîtresse et qu’elle n’avait rien pour pouvoir se démaquiller au besoin.
Soudain un sms arriva sur le portable que lui avait donné sa maitresse. Le message lui ordonnait de descendre et de rejoindre la voiture de sa maîtresse garée sur le parking. Simone descendit en se faisant aussi discrète que possible et pria le ciel de ne rencontrer personne dans les couloirs.
Arrivée sur le parking, elle suivit les consignes qui lui indiquait de se mettre à la place conducteur. Elle resta là de nouveau à attendre un nouvel sms. Heureusement pour elle, ce sms ne se fit pas trop attendre. Les instructions étaient claires : prendre la clé de la voiture dans la boite à gants, démarrer le moteur et se rendre à la dernière destination reprise sur le gps de la voiture. Simone démarra aussi vite et roula près de 30 mn. L’adresse indiquée était celle d’une maison dont le portail était ouvert.
Un nouvel sms arriva lui enjoignant de garer la voiture sur le parking de la villa et d’entrer dans celle-ci sans sonner. Simone commençait à se demander s’il ne valait pas mieux qu’elle fasse demi-tour mais sa curiosité fut la plus forte et elle entra.
Une paire de menottes était posée sur une chaise avec un bâillon et un bandeau. Un nouvel sms et Simone, après avoir mis le bâillon et le bandeau sur les yeux, s’attacha au poteau métallique qui se trouvait dans la pièce les mains derrière le dos. Elle attendit, morte d’angoisse, dans cette position un temps qui lui parut une éternité jusqu’à ce qu’elle entendit un bruit dans la pièce…
Qui donc pouvait être là ?
Le bruit qu’elle entendit lui était familier. C’était le bruit du film étirable que l’on déployait et en une fraction de seconde elle sentit son corps se resserrer contre le poteau métallique auquel elle était attachée. Très vite tout son corps en ce compris sa tête, à l’exception de sa bouche et de ses narines, fut entouré par le film plastique. Simone compris vite qu’elle perdait définitivement tout contrôle sur la situation et s’abandonna à son sort. Ainsi attachée, plastifiée, elle entendit une voix familière.
C’était sa maîtresse.
- Te voilà punie et à ma merci Simone. Il est temps que je te révèle ce que je veux faire de toi. Si tu l’acceptes, je te libérerai prochainement. Si tu refuses, je te ferai attendre jusqu’à ce que tu reviennes à de meilleurs sentiments…De toute manière, tu n’as guère le choix.
Simone écoutait attentivement chaque mot prononcé par sa maîtresse. Les mots : « ce que je veux faire de toi » résonnaient dans sa tête. Elle n’était pas en mesure de discuter les vues que sa Maîtresse avait vis-à-vis d’elle et était prête à tout accepter.
- Vois-tu Simone, commença sa Maîtresse, jusqu’à présent, tu as pris cette relation entre nous pour un jeu, plus ou moins amusant. Il est temps pour nous d’aller plus loin et de cesser ces continuels va et vient. Avec le temps, tu as découvert ta nature soumise et ton envie de vivre en femme. Je vais réaliser pleinement ton fantasme, au-delà de tout ce que tu pouvais espérer. Tout d’abord, je compte tatouer ta fesse gauche de ma marque indélébile pour que, si tu devais te déshabiller devant quelqu’un, ton appartenance à ta maîtresse lui sauterait aux yeux. Ensuite, tu as toujours voulu d’habiller en femme et te maquiller. Je vais tenter de réaliser tes désirs même si la présence de nos enfants et ton métier ne permettra pas pour l’instant d’aller aussi loin que je le voudrais. N’empêche. Tu es déjà épilée et je vais faire enlever définitivement le peu de poils qui te reste, spécialement dans ton dos.
En travaillant chaque jour tes seins avec une pompe à vide et moyennant quelques estrogènes, j’espère bien les voir grossir. Pour ta garde-robe, tu peux dire adieu à tous tes slips d’homme et tu ne porteras plus désormais que des sous-vêtements féminins. Je vais faire disparaître tous tes slips pour les remplacer par des culottes féminines. Tu verras, cela t’ira très bien ! Je compte aussi arranger ta coiffure et tes sourcils pour les rendre plus féminins.
Ensuite, quand nous serons entre nous, tu ne seras habillée qu’en femme, et encore ! En femme soumise prête à servir sa maîtresse ! Je vais te faire une garde-robe de sissy qui fera certainement bien rire mes amies si elles devaient te voir ainsi ! A ce propos, il n’est pas impossible que je te prête de temps en temps à l’une d’entre elles pour que tu ailles faire le ménage ou le repassage chez elle, pendant que nous sortons à Cannes ou ailleurs. Il va de soi que si tu restes chez nous, tu accompliras toutes les tâches ménagères dignes d’une bonne sissy et je serai intransigeante sur la qualité du nettoyage.
Simone écoutait les paroles de sa Maîtresse et commençait à regretter d’avoir mener, ce qui lui semblait être un jeu, aussi loin.
Voici les règles que tu auras à respecter dorénavant dans notre vie commune, continua la Maîtresse. Sauf en cas de présence d’étrangers, tu n’as pas le droit de me tutoyer. Tu dormiras à l’endroit que je t’indiquerai qui variera en fonction de mes humeurs et de ton comportement, et toujours habillée en femme. Tu serviras les enfants et moi-même si je mange avec eux. Tu mangeras les restes quand les enfants seront au lit, mais uniquement dans une gamelle à terre sans t’aider de tes mains. Même chose pour boire. Je veux que tu sois mon petit chien, ou plutôt ma petite chienne, docile et obéissante.
Le soir, tu repasseras les vêtements habillées en soubrette ou tu feras le ménage. Chaque matin, tu m’apporteras mon petit déjeuner au lit. Ah j’oubliais, je compte m’absenter de temps en temps le soir. Tu resteras à la maison à m’attendre en faisant les tâches ménagères ou à défaut en étant attachée. De temps en temps, tu m’accompagneras mais ce sera pour te déposer, habillée en sissy, à un autre endroit où tu feras le ménage ou le repassage en m’attendant.
Quoiqu’il arrive, je te défends d’être jalouse ou d’émettre un quelconque commentaire. Tu l’as compris, ta vie vient de changer et ce n’est qu’un début car j’ai encore de grands projets pour toi. N’oublie pas que tu m’as donné ton corps et j’en dispose comme je veux. Si tu ne veux pas risquer que je te dépose un jour habillée en Simone en plein centre de Cannes, en hauts talons et sans un sou, je te conseille de respecter à la lettre mes directives.
Simone n’en revenait pas. Elle voulait à ce moment tout stopper mais le bâillon et le film plastique l’empêchait de faire le moindre mouvement ou de prononcer le moindre mot. En définitive, elle se résigna. Une heure plus tard, Maîtresse la détacha de tous ses liens. Elle tenait dans ses mains une tenue de Sissy et ordonna à Simone de la revêtir.
- Nous allons commencer dès à présent ton éducation. J’ai demandé à une amie dominatrice de m’assister et je pense que nous allons bien nous amuser. Quand je dis Nous, je ne parle pas de toi. En ce qui te concerne, nous allons t’apprendre à nous servir, en tenue de Sissy. Prépare toi au pire, mon chéri !
Simone était trop contente de se débarrasser du film plastique qui entourait son corps et qui avait tendance à se resserrer sur elle au fil du temps sous l’effet de la chaleur de son corps et la faisait énormément transpirer. La tenue de sissy que lui avait préparée sa maîtresse était celle d’une femme de chambre du 19ème siècle, en plus court et plus sexy. Des jarretières retenaient les bas noirs et un petit tablier blanc renforçait l’apparence de soubrette soumise. Maîtresse connaissait la taille des chaussures de son soumis, ou plutôt de celle qui était devenue définitivement sa soumise ; sa Simone soumise.
Simone se tenait en équilibre sur les escarpins que sa Maîtresse n’avait pas voulu trop haut mais qui la grandissait quand même d’environ 8 cm.
- Nous allons commencer ton éducation Simone. Tu vas apprendre à nous servir, mon amie et moi et nous coterons tes prestations. Comme nous ne sommes pas (trop) injustes, nous allons partir du principe que tu devras avoir une moyenne de 8/10. A défaut, une punition te sera appliquée dont la f o r c e et la durée sera d’autant plus élevée que les points seront bas. Pour commencer et afin que tu t’habitues à faire des petits pas précieux, nous allons entourer tes cuisses et genoux de film plastique étirable, ce qui te permettra encore d’avancer mais uniquement à petites enjambées. Evidemment, tu risques de mettre plus de temps pour réaliser les épreuves que nous t’avons préparées et qui doivent toutes être réalisées avant la fin de ceci :
Maîtresse sortit alors un sablier qu’elle posa sur la table et retourna. Le sable commença à glisser du récipient du dessus vers celui du dessous à une vitesse dont la seule vue paralysait déjà Simone. A peine les explications finies, l’amie de la Maîtresse entoura les cuisses et les genoux de Simone avec le film plastique en lui laissant juste la possibilité de faire des petits pas juchés sur ses hauts talons.
- Première épreuve : nous servir deux rafraichissements citronnés dans deux verres sur pied, après avoir mis une tranche de citron, un glaçon, un peu de sucre sur le bord des verres et agrémenté le tout par des olives à grignoter. Tout se trouve dans la cuisine et le frigo qui se trouve à côté de la pièce.
A peine ces mots terminés, Maîtresse tourna le sablier et Simone se dirigea vers la cuisine. Le plastique autour de ses jambes l’empêchait d’avancer vite et elle devait faire de tout petits pas en prenant soin de ne pas tomber. Quelques instants plus tard, Simone avait rempli les verres et mis les olives sur le plateau. Elle se dirigeait vers les 2 amies et avant même d’arriver près d’elle, le sablier rendait son dernier grain dans le tube du dessous.
- Simone, tu as commis trois erreurs, lui asséna sa Maîtresse. Premièrement, tu n’as pas respecté le temps qui t’était imparti. Deuxièmement, je cherche désespérément le sucre qui devait orner nos verres. Troisièmement, je pense que tu as omis le citron. Trois fautes pour commencer. C’est beaucoup. Je ne parle même pas de moyenne car en partant de si bas, je ne pense pas que tu pourras jamais récupérer les points pour te refaire. Mon amie va te donner quelques coups de canes pour te stimuler. Disons que tu as eu 0/10 à ce jeu, tu as aussi commis trois erreurs. 10 points perdus, que dans ma grande mansuétude je limiterai à 8 qui était le minimum à atteindre, multipliés par 3. Cela nous donne 24 coups de canes, soit le minimum pour me permettre d’oublier ton premier résultat déplorable.
Simone ne savait plus quoi penser. Elle voulait s’enfuir. Sa maitresse semblait lire dans sa tête et lui dit :
- Je ne te conseille pas de vouloir fuir ou éviter ton châtiment. Je dispose de très belles photos de toi en tenue de soubrette et je présume que tu ne voudrais pas que celles-ci fassent le tour de la toile.
Simone se prépara à recevoir ses 24 coups de canes, penchée sur l’accoudoir du Sofa, les mains à nouveau attachées dans le dos par de solides menottes et un bâillon boule dans sa bouche pour éviter tout cri. Simone accepta ces 24 coups qui lui laissèrent des stries sur les fesses et le souvenir cuisant de ses erreurs.
- Nous allons sortir, Simone et toi tu vas rester là. Comme tu le vois, la maison est pourvue de caméra et nous pouvons à tout moment te surveiller. Comme je ne souhaite pas que tu touches à tout ou que tu veuilles échapper à la surveillance des caméras, j’ai prévu la version moderne du carcan que l’on employait au moyen âge.
Maîtresse sortit alors d’une valise un carcan en fer, articulé, qui une fois ouvert permettait de passer la tête et les 2 poignets.
- Viens ici Simone et passe ta tête là-dedans.
Aussi tôt dit, aussi tôt fait et Maîtresse referma le carcan sur la tête les poignets de Simone au moyen d’une petite clé Allen qui actionnait 3 boulons permettant de bloquer les ouvertures. Simone se retrouva ainsi les poignets attachés, à la hauteur et à une distance d’environ 50 cm de la tête. Le piège était diabolique et sans aide extérieure, il était parfaitement vain de vouloir y échapper.
- La technologie est merveilleuse, repris avec un petit sourire malicieux Maîtresse. Outre ces belles petites caméras qui vont te filmer et enregistrer en permanence, j’ai pour toi un petit plug anal télécommandé à distance et, le top du top, ce petit anneau électrifié qui va enserrer la base de ton scrotum et qui pourra t’envoyer des décharges d’intensité variable. Je t’explique un peu mieux : une petite décharge veut dire que nous pensons à toi et que tout va bien. Si par malheur, nous ne te voyons plus sur les caméras, tu recevras des décharges de plus en plus fortes jusqu’à ce que nous te revoyons à nouveau sourire devant la caméra. Il se pourrait également que nous nous amusions à t’envoyer des décharges juste pour rire entre nous.
Combiné avec le plug vibrant commandé à distance, ton image se tortillant avec tes mains et ta tête bloquée dans le carcan devrait beaucoup nous amuser. Tu recevras aussi d’autres instructions via le haut parleur de la caméra. Tu verras que tu feras tout pour nous donner satisfaction rapidement, sinon….
A nouveau, Simone se demandait dans quel piège elle s’était fourrée mais ne voyait pas d’autre issue actuellement que d’obéir scrupuleusement aux souhaits de sa Maîtresse. Les deux femmes laissèrent leur soumise ainsi habillée en sissy, le carcan bien en place outre les autres accessoires télécommandés.
Une première décharge intervenue moins de 5 minutes après le départ des deux femmes avait fini d’enlever tout espoir sur le non fonctionnement des accessoires… Simone n’avait plus le choix que d’attendre et d’obéir aux ordres. Elle essaya un instant de s’éloigner de la pièce où se trouvait la caméra. La réponse fut immédiate : une décharge électrique fulgurante la rappela à l’ordre. Tout d’un coup, elle sentit le plug commencer à vibrer. Au début, la sensation était plutôt agréable mais très vite l’intensité se renforça et provoquait des coups de butoir en elle. Les décharges électriques vinrent s’ajouter aux vibrations, l’ensemble ayant un effet détonnant et imparable. Après cinq minutes de tourments plus ou moins intenses, les vibrations et les chocs électriques cessèrent et Simone entendit la voix de sa Maîtresse à travers le haut parleur de la caméra.
- Beau spectacle Simone. Nous avons apprécié. J’espère que tu as compris que tu es à ma merci et soumise à mon bon vouloir. Tâche de t’en souvenir à tout instant car je n’étais qu’à la moitié de l’intensité maximale.
Simone commençait à avoir peur mais ne voyait pas comment se tirer de ce mauvais pas. S’enfuir ? Elle n’aurait pas pu le faire pour l’instant avec ce costume de soubrette et ce carcan. Partir une fois libérée ? Peut-être mais l’idée de voir ses photos publiées sur le net l’en empêchait. Mieux valait jouer le jeu et apprendre à servir ses dames comme elles le souhaitaient. Après tout, n’était ce pas ce qu’elle avait cherché depuis toujours ?
Le retour de sa Maîtresse se fit attendre longtemps mais Simone ne ressentait plus maintenant qu’une décharge de peu de puissance environ tous les 1/4H. Il n’empêche, le souvenir de celles subies précédemment la laissait sur le qui-vive et occupait pleinement sa pensée. Vers 20 heures, Simone entendit une voiture se garer dans l’allée du jardin. Ses deux maîtresses pénétrèrent dans la maison, visiblement satisfaite de leur après-midi.
- Viens ici mon chien, nous n’avons pas encore fini ton éducation.
Simone était résignée et prête à endurer la suite. Le carcan fut enlevé ainsi que les accessoires. Luxe suprême, Simone fut même autorisé de prendre une douche.
- Nous t’avons demandé de te laver Simone car tu n’as pas fini ta journée. Mais cette fois nous allons t’emmener avec nous pour une soirée très…spéciale. Et à soirée spéciale, tenue spéciale. Nous t’en avons ramené une toute neuve que nous avons dégotée rien que pour toi cet après-midi.
Tout en parlant, Maîtresse dévoila une tenue tout en latex, en ce compris la tête, les mains et les pieds. Seuls des petits trous étaient percés aux endroits stratégiques : nez, bouche, yeux, seins, sexe, anus.
- Tu vas enfiler cette magnifique tenue en faisant attention de ne pas l’abîmer. Ce serait dommage pour la tenue et terrible pour toi. Aide toi de ce talc qui te permettra de l’enfiler au mieux.
Simone, avec un trésor de précaution, passa sans trop de difficultés ce vêtement qui lui faisait comme une seconde peau, en regrettant que deux ouvertures avait été prévues en contrebas, tant elle se rappelait les décharges subies durant l’après-midi.
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Passe bien tes bourses et ton sexe en dehors de la tenue car nous avons un petit accessoire à placer : à peine le sexe sorti, Maîtresse s’en empara d’une main ferme pour le faire entrer dans une cage de chasteté à peine longue de 4cm.
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Et voilà l’oiseau en cage, dit fièrement sa maîtresse. Comme je souhaite que tu la portes un certain temps, voire un temps certain, je vais mettre une goutte de colle cyanolite à l’emplacement prévu pour la clé afin de t’empêcher de l’ouvrir. On n’est jamais assez prudentes ! Nous verrons d’ici, disons un mois, si on peut faire quelque chose pour l’enlever ou si cet attribut te restera à jamais ! Rassure toi, le reste des accessoires te sera dévoilé lors de cette soirée. Tu te rappelles, je t’avais dit qu’elle serait spéciale. En tout cas pour toi, car j’ai des amies qui aiment les femmes et châtient bien les hommes devenues femmes. Bon courage mon chéri, tu vas en avoir besoin.
En attendant la préparation de ses maîtresses, Simone fut attachée solidement en tenue de latex sur une chaise. Afin d’éviter que tu ne t’ennuies, nous allons te mettre un appareil qui fera le vide sur chacun de tes seins. Tu verras, le volume de ceux-ci aura augmenté de la même manière que nos cils quand nous aurons fini de nous maquiller (rires des maîtresses). Deux heures de maquillage plus tard, les seins bien gonflés, les deux maîtresses étaient prêtes à emmener leur soumise.
- Voici ta place pour le trajet.
Maitresse avait ouvert le coffre de sa voiture et indiquait la place réservée à Simone. Heureusement pour elle, une couverture tapissait le fond et un oreiller aurait rendu le trajet presque confortable s’il n’avait pas duré plus d’une heure sur des petites routes inconfortables et que Maîtresse avait pris la peine de bander les yeux de Simone et de lui attacher les mains dans le dos.
Quand le coffre s’ouvrit, le silence était total, laissant penser à un immeuble retiré à la campagne. Simone fut conduite, toujours les yeux bandées et en combinaison latex, à travers plusieurs pièces jusqu’à ce que ses mains soient à nouveau attachées, avec les pieds, à une sorte de croix, en forme de X. Le bandeau de Simone fut enlevé. Le spectacle était hallucinant. Une dizaine de femmes, très belles et vêtues toutes de tenues en cuir noir, fixait la nouvelle recrue sans un mot. Elles faisaient l’effet d’une secte mystérieuse d’amazones libérées de toute contrainte.
- Bonsoir Simone dit l’une d’elle. Ta maîtresse nous a expliqué le chemin parcouru depuis l’homme macho que tu étais quelques années auparavant. Pour autant, tu n’es pas devenu une femme et beaucoup d’hommes confondent fantasmes et réalité. Cette soirée te permettra de te connaître vraiment. Quoiqu’il arrive, tu ne seras jamais une femme mais tu laisseras tes penchants féminins prendre le dessus sur ta personnalité. Mais avant, nous allons te confronter à plusieurs épreuves, dont les premières auront lieu ce soir et les autres s’étaleront sur plusieurs mois, voire même sur plusieurs années. Nous comptons sur ta maîtresse pour poursuivre ton éducation jour après jour.
Tout d’abord, et cela va te paraître étrange, nous allons te traire plusieurs fois de suite au moyen d’une machine extrêmement efficace. Si après cette traite, tu ne veux plus continuer, ce sera ton choix mais aussi la preuve que ton envie de femme ne tenait que du fantasme. Si au contraire tu es prête à continuer, tu seras confrontée à diverses situations que vivent certaines femmes au quotidien. Est-tu prête à aller plus loin ?
Une petite voix disait à Simone d’arrêter tout et de fuir. Mais la sincérité de la proposition et la volonté de connaître sa véritable nature lui dicta les mots :
- Oui, je suis prête Maîtresse.
Quelques minutes plus tard, la machine infernale lui enlevait jusqu’à la dernière goutte de sperme et le temps était venu d’être confrontée à sa véritable nature.
- Tu vas maintenant enlever ce vêtement de latex pour revêtir cette robe, bas et escarpins que nous avons préparé pour toi. Ainsi vêtue, nous t’expliquerons la suite des épreuves.
Simone s’empressa d’enlever la combinaison de latex pour revêtir ses nouveaux vêtements qui étaient à tout le moins extrêmement provocateurs : jupes de cuir extrêmement moulante, porte-jarretelles, bas résille, talons haut d’environ 12 cm, corsets, gants noirs remontant jusqu’au dessus du coude et un tour du cou en velours noir comme touche finale. Simone était troublée de l’image que le miroir reflétait d’elle et se trouvait profondément désirable. A nouveau, sa maîtresse semblait lire dans ses paroles et lui dit :
- Te rends tu compte Simone à quel point nous les femmes sommes constamment les cibles de comportements machistes indésirables qui nous empoisonnent la vie au quotidien ? Nous t’avons habillé ainsi pour te permettre de mieux t’en rendre compte. Nous allons te déposer vers minuit dans un coin chaud de Nice et tu auras à te rendre deux kilomètres plus loin à une adresse que nous t’indiquerons. Pour ce faire, tu as interdiction de prendre un taxi ou un Uber et tu seras d’ailleurs déposée sans un sou en poche. Si j’étais toi, je ne traînerais pas trop en route car les rues ne sont pas sûres à cette heure de la nuit, surtout dans ta tenue.
Les pensées de Simone étaient confuses après une telle annonce. Deux kilomètres à pied n’était a priori rien pour elle en temps normal mais avec ses talons-hauts et cette jupe qui ne lui permettait que de petits pas, il lui semblait qu’il lui faudrait des heures pour y arriver.
- Dernière précision Simone : nous allons te mettre deux petits cadenas à tes hauts talons pour t’éviter l’envie de les retirer en chemin. Et comme nous ne sommes pas inhumaines et que nous ne voudrions pas qu’il t’arrive quoi que ce soit de fâcheux, tu vas mettre cette ceinture de chasteté qui t’évitera de te faire v i o l e r.
Une demi-heure après cette annonce, Simone était déposée, ainsi vêtue, près de la gare de Nice, avec une feuille A4 sur laquelle étaient surlignée le parcours à suivre et la destination à atteindre. Simone connaissait Nice et comprit tout de suite que le parcours indiqué ne serait pas une partie de plaisir, les rues indiquées étant parmi les plus chaudes de la ville la nuit.
Simone ne passait pas inaperçue avec sa tenue et elle comprit très vite les paroles de ce soir : dure d’être une femme dans ce monde d’homme. Au moins 5 fois une voiture s’arrêta près d’elle pour lui demander de monter, plusieurs mâles lui demandèrent le prix de la passe, beaucoup la sifflèrent mais personne n’osa aller plus loin. Simone, même si elle ressemblait à une femme sexy et désirable, avait pour elle sa grande taille qui devait en faire reculer plus d’un.
Cinquante minutes lui furent nécessaires pour arriver à l’adresse mentionnée. En temps normal et habillée en homme, elle aurait mis à peine vingt minutes ! Elle se dit sur le moment qu’il n’était pas toujours facile d’être une femme ! Elle sonna à la porte. La porte, actionnée par un mécanisme à distance, s’ouvrit. Un escalier recouvert de velours rouge remplissait quasiment tout le petit hall d’entrée et la lumière au deuxième étage invitait à monter. Arrivée au 2ème étage, Simone n’en crut pas ses yeux. La pièce était recouverte d’accessoires BDSM tels fouets, cravaches, bâillons, menottes, …
- Tu es bien arrivée à la bonne adresse, lui dit une voix féminine dans le fond de la pièce. Ta maîtresse m’a prévenue.
La pièce était sombre, seulement éclairée par quelques abats jours tamisés, donnant à la pièce une atmosphère étrange teintée de couleur pourpre.
- Bienvenue dans mon antre. Je vois que tu as survécu à cette petite ballade nocturne. Tu mérites de te reposer. Ou du moins, quelques instants, jusqu’à l’arrivée du prochain client…
A ces mots, Simone comprit qu’elle était tombée aux mains d’une de ces maîtresses qui tiennent salon en pleine ville. A peine remise de ses émotions, deux assistantes conduisirent Simone dans une pièce contigüe où elles attachèrent Simone sur une sorte de cheval d’arçon tout en cuir noir, les pieds et les bras solidement fixés aux pieds de celui-ci. C’était effectivement une sorte de pause mais la position avec les fesses bien exposées et la tête vers le bas ne laissait présager rien de bon.
Les assistantes retirèrent la jupe en cuir de Simone pour laisser les fesses nues et mis un masque en cuir sur le visage, ne laissant que deux trous au niveau des narines Une des assistantes pris la peine d’insérer un bâillon dans la bouche de Simone qu’elle gonfla aussitôt, pour empêcher toute parole ou murmure.
- Je pense que tu es prête, lui dit la Maîtresse des lieux. Tu voulais voir ce que c’était d’être une femme. Tu vas pouvoir te rendre compte de ce que certaines femmes subissent en présence d’hommes très dominants. Pour préserver les femmes qui travaillent ici, nous avons choisi de les remplacer par des personnes telles que toi. Tu vas pouvoir goûter du fouet et de la cravache tout au long de la soirée. Inutile de crier, ton bâillon étouffera tous tes cris.
A peine ces mots terminés, Simone entendit la Maîtresse s’entretenir avec une personne nouvellement arrivée… Pendant près de deux heures, Simone subit tous les outrages et sévices que sa situation provoquait…
Quand Simone sortit de l’immeuble toujours habillée en femme, elle aurait donné tout l’or du monde pour retrouver son ancien statut d’homme. Une voiture s’arrêta. C’était sa Maîtresse.
Monte Simone. Tu en as assez bavé pour ce soir mais sache que ton éducation n’est pas finie. Tu sais maintenant ce qui t’attend si tu ne respectes pas à la lettre les directives que je vais te donner.
Simone émit un profond soupir de soulagement lorsque la voiture franchit le seuil de la maison familiale. Enfin le confort du nid douillet familial pensa-t-elle.
- J’ai mis les enfants chez une amie pour ce week-end. Tu rentres chez nous mais sous mes ordres et à mes conditions. Je t’autorise à prendre ta douche avant d’aller dormir. Bien évidemment, tu gardes ta cage. De toute façon, il est impossible de l’ouvrir pour l’instant même avec la clé. La colle a bloqué définitivement la serrure. Nous aviserons en temps voulu sur l’opportunité de forer la serrure. Pour l’instant, tu prends ta douche et tu mettras la nuisette que je t’ai préparée. Ne t’imagine pas dormir avec moi dans mon lit. Comme je suis gentille ce soir, tu peux aller dormir dans la chambre de bonne. Avant de dormir, je te mettrai un lange car tu resteras attachée toute la nuit. Je te mettrai un cadenas à minuterie de façon à ce que tu puisses te réveiller avant moi et me préparer mon petit déjeuner. Quant à moi, je vais dormir dans mon grand lit seule, du moins ce soir, et je pense que je vais faire hommage au nouveau vibro que tu m’as offert. Après tout, il te remplace efficacement et m’offre tous les plaisirs que je peux souhaiter. N’essaie pas de sortir ton petit oiseau de sa cage. Je vais d’ailleurs m’occuper de cela prochainement, mon Prince. Ou devrais-je dire mon Prince Albert qui va te priver de toute jouissance sans mon contrôle. J’ai pris rendez-vous avec une de mes amies spécialistes dans ce domaine. Tu verras, elle adore percer le gland des hommes pour les priver de toute jouissance. C’est une sorte de vocation !
Simone pensait dormir mal dans ce lit étroit mais la fatigue de la journée et de la nuit était telle qu’elle s’écroula en une fois, malgré les menottes qui la bloquait sur le lit. Le bruit du minuteur qui arrivait au terme prévu tira Simone de son sommeil. Jamais elle n’avait dormi aussi fort et elle fut surprise de voir que le lange que sa Maîtresse lui avait mis par précaution n’était plus sec. Elle s’empressa de l’enlever, un peu honteuse de ce souvenir d’enfance disparu depuis longtemps. Il était 8 heures. Simone avait dormi 4 heures et sa maîtresse devait dormir à point fermé. Elle se rendit à la cuisine où une liste préparée par sa femme l’attendait.
- Simone, après ta douche, tu revêts les vêtements de soubrette que je t’ai préparées. Ensuite, je compte sur toi pour nettoyer complètement la maison, repasser le linge et préparer mon petit déjeuner que tu m’apporteras au lit quand je me réveillerai, peut-être vers midi. J’ai mis fin au contrat de notre femme de ménage. Il n’était plus utile avec une soubrette comme toi à la maison. En outre, je n’étais pas satisfaite de son travail. Je pense que cela n’arrivera pas avec toi sauf si tu veux revivre une nuit comme celle-ci. Je veux à mon réveil avoir la maison IMPECCABLE, le linge repassé et rangé et mon petit déjeuner prêt. Tu sais que je suis maniaque. Ne m’oblige pas à te punir pour ce qui restera de ton dimanche.
Simone s’empressa de prendre sa douche, d’enfiler les vêtements de soubrette que lui avait préparé sa maîtresse et commença à astiquer la maison. Les 4 heures dont elle disposait serait à peine suffisant pour accomplir toutes les tâches, d’autant que le linge s’était accumulé depuis plus d’une semaine et que tous les draps de la maison avaient été changés. A midi, Il ne restait à Simone que deux mannes à linge non terminées, le reste avait été repassé précieusement et rangé dans les placards.
Simone avait pris la peine de préparer le petit déjeuner de sa Maîtresse sur un plateau, orné d’une fleur de Jasmin comme elle aimait tant, d’un jus d’orange fraichement pressé et d’une diversité étonnante de pains, fromages et confitures. Dès qu’elle entendit sa Maîtresse éveillée, Simone lui apporta son plateau. Maîtresse était de bonne humeur et pour fêter dignement cette belle journée qui commençait, fit asseoir Simone sur les genoux, la main sur la tête, face à elle.
- Tu resteras ainsi le temps de mon petit déjeuner afin que je puisse savourer ta nouvelle condition de soumise. Je te trouve très belle Simone dans cette tenue. Tu as perdue toute agressivité et je vois que tu deviens une fille obéissante. C’est bien ! Et c’est mieux pour toi. Je serais vraiment triste de devoir revoir mes méthodes d’éducation. Enfin si tu y tiens, sache que j’ai installé une cage dans le sous-sol où tu pourras séjourner pour un temps indéfini à la moindre incartade. Sache de t’en souvenir, Simone. Je n’aimerais pas en faire usage.
Simone tremblait à l’idée de se retrouver coincée dans cette cage et était prête à faire n’importe quoi pour y échapper. Une demi-heure plus tard, Maîtresse décida qu’il était temps pour elle d’examiner l’exécution des tâches de sa soumise.
Le nettoyage avait été fait en détail à l’exception d’un coin de l’arrière cuisine où quelques poussières s’était accumulée. Simone tenta de se disculper en prétextant qu’elle n’avait pas employé l’aspirateur pour ne pas réveiller sa maîtresse. Cette excuse eut le don de l’agacer et pour éviter toute incartade de ce genre à l’avenir, Maîtresse demanda à Simone de nettoyer le coin concerné avec sa langue. Nul doute que la perfection serait atteinte la prochaine fois.
Les deux mannes non repassées étaient un crime de lèse majesté pour Maîtresse lorsqu’elle découvrit que seules les 4 premières mannes avaient été repassées et rangées. Simone eut beau dire que le temps lui avait manqué pour tout finir, Maîtresse ruminait déjà sa vengeance. Le proverbe disant que la vengeance est un plat qui se mange froid, Maîtresse remit celle-ci à plus tard.
N’ayant plus besoin de sa soumise pour le moment et voulant être seule, Maîtresse hésita de la mettre dans la cage qu’elle avait préparée. En définitive, elle préféra garder celle-ci pour les grands jours et résolu d’enfermer Simone dans un placard sous l’escalier. Afin de l’occuper, elle imprima un article qu’elle avait lu sur un contrat de soumission et demanda à Simone de l’apprendre par cœur. Quand elle lui ouvrirait, Elle devrait lui réciter mot à mot le contrat, toute erreur étant bien évidemment punie.
Maîtresse profita agréablement de son dimanche après-midi et se décida vers 18 heures à aller voir si sa soumise avait appris sa leçon.
A suivre…
une histoire délicieuse, vivement la suite | |
Simone a beaucoup de chance, j'aimerais bien être à sa place, il me tarde de connaitre la suite |
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